On doit rester, en fin de bouche, sur un arôme et non pas sur une saveur. 

Ethiopie, Comlombie, Nicaragua, Kenya, Brésil, bientôt Pérou, Costa Rica… quelques destinations proposées avec une gamme, allant du plus doux au plus corsé, élaborée avec un torréfacteur de Saintes. Un panel de gouts et d’arômes vous est proposé en commençant par des cafés fruités comme le nicaragua, doux léger, qui ensuite un colombien très équilibré, un brésil très doux… on peut se diriger vers un café goût italien qui est très puissant en caféine ou un moka arabe avec de belles notes en fin de bouches. Ce qu’il faut avoir à l’esprit c’est qu’un café doit rester sur un arôme et non pas sur une saveur en fin de bouche, sur des arômes de noisettes, de cuir, boisée… par exemples « Ça fait à peine six ans qu’en France on commence à boire du bon café, et nous essayons, un peu comme on goûte un vin, de faire découvrir le plaisir d’une bonne dégustation. » explique Franck et Marie. 

Nous avons perdu notre palais avec les capsules et nous voulons retrouver notre café, affirment même quelques clients, et en fait reviennent aux cafetières pistons ou italiennes. Tout comme le thé, il faut respecter un temps d’infusion (approximativement 4 mn) , une mouture (à 6) une eau bouillante au départ… Le secret d’un bon café : une mouture fraiche, une mouture de moulin à café… accessoire indispensable à tout barista.